Aujourd’hui dans La Provence, Olivier Jannuzzi, entraîneur des U18 R1, est revenu sur l’épopée qu’il a vécu en Coupe Gambardella en 2016-2017. Ses jeunes étaient alors arrivés jusqu’en finale.
Comme un air de déjà-vu…
Dans un premier temps, il est revenu sur la charnière centrale Bouba Kamara / Lucas Perrin qui a des chances d’être alignée ce dimanche en Ligue 1.
Si « Bouba » et Lucas sont alignés à Toulouse, ce sera valorisant. C’est comme un aboutissement puisque cette charnière de Ligue 1 sera sortie du centre de formation. »
Extrait de l’interview d’Olivier Jannuzzi, publiée le 20 novembre par La Provence.
« On a tellement souffert d’un manque de reconnaissance qu’il faut mettre en lumière les bonnes choses ! »
Extrait de l’interview d’Olivier Jannuzzi, publiée le 20 novembre par La Provence.
De beaux souvenirs
Il a ensuite évoqué ses souvenirs ainsi que les caractéristiques qui faisaient la force de cette équipe concernant la Coupe Gambardella Crédit Agricole.
« Que des bons! Il n’y a pas eu la victoire finale, mais notre solidité défensive nous a permis d’aller jusqu’au bout, tout comme leur implication individuelle et collective. On était très solide, on a fait des 0-0, des 1-0, on a gagné aux tirs au but ».
Extrait de l’interview d’Olivier Jannuzzi, publiée le 20 novembre par La Provence.
L’actuel coach des U18 olympiens a aussi parlé des bons éléments qui constituaient son équipe cette année-là, et qui lui ont permis d’aller loin dans la compétition.
« Il y avait aussi Christopher Rocchia, Mohamed Abdallah, Florian Chabrolle et Yusuf Sari, ces joueurs sont devenus pros au club. Pour l’OM ça fait six éléments issus de cette équipe. C’est plutôt encourageant pour la suite. »
Extrait de l’interview d’Olivier Jannuzzi, publiée le 20 novembre par La Provence.
Pour finir, il a vanté les qualités de Boubacar Kamara et Lucas Perrin.
« C’était une bonne entente, une bonne association. On a pris très peu de buts avec eux. »
Extrait de l’interview d’Olivier Jannuzzi, publiée le 20 novembre par La Provence.
« Bouba a un peu plus de précocité. Depuis tout jeune, on voit en lui un potentiel pour le plus haut niveau national et international. Il est en avance par rapport à son âge. Il a une sérénité, une force, une tranquillité et une maturité. Lucas est un peu plus tardif, sa progression est moins rapide. Il est plus besogneux, peut-être un peu moins talentueux, mais ça ne veut pas dire moins efficace ! Il y a plusieurs moyens d’arriver au plus haut niveau. Leur qualité première reste l’agressivité, la défense du ballon, toutes ces notions d’engagement. »
Extrait de l’interview d’Olivier Jannuzzi, publiée le 20 novembre par La Provence.