Après une année presque blanche sous Igor Tudor, l’arrivée de Marcelino ne devrait pas profiter au meneur de jeu marseillais. Même si ce dernier voudrait rester à l’OM, un club turc montre un véritable intérêt.
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La Süper Lig comme fin de carrière ?
Tout juste promu en D1 turc, le club de Pendikspor souhaite renforcer son effectif pour la saison prochaine. Le nom de Dimitri Payet semble être coché par les dirigeants qui compte bien profiter de sa situation actuelle pour tenter de l’attirer.
Moins huppés que certains championnats, la Süper Lig a vu passer, lors des années précédentes, des joueurs comme Robin Van Persie, Maicon, Younes Belhanda ou encore l’ancien olympien Bafétimbi Gomis.
Il est certain qu’à 36 ans, l’international français n’est plus au top de sa forme. Sa débauche d’énergie n’est pas la même que ses coéquipiers dans un style de jeu où la rigueur physique prône sur le terrain. Une philosophie inadéquat avec le joueur.
Vers une déception pour Dimitri Payet
Il y a quelques semaines, le numéro 10 marseillais a indiqué vouloir jouer encore quelques saisons à l’OM dans le but d’accrocher un trophée à son palmarès avec le club phocéen.
Malgré des hauts et des bas, le milieu de terrain n’a jamais caché son amour pour l’OM. Le club lui a donné énormément et il espère lui rendre la pareille. en attente d’un premier trophée depuis plus de 10 ans, Dimitri Payet veut faire partie de la prochaine équipe qui ramènera de nouveau un trophée à Marseille.
Et si le 4-2-3-1 était synonyme de dernière chance
Le nouvel entraîneur olympien, Marcelino est un fidèle du 4-4-2 qui permet d’équilibrer l’équipe sur le terrain. Cherchant des éléments avec une bonne pointe de vitesse pour favoriser son sytème de jeu. Dimitri Payet ne semble pas correspondre à cette philosophie.
Cependant, après avoir pris connaissance de son effectif, l’Espagnol pourrait avoir une autre idée en tête. Il penserait également mettre en place un 4-2-3-1 la saison prochaine. Système où le meneur de jeu de l’OM a souvent brillé.
Le Français retrouverait alors un poste de numéro 10 qu’il affectionne et où il pourra compenser son manque de vitesse par sa technique et sa vision du jeu. Dans ce cas, un possible départ serait un refus catégorique pour le joueur.
La volonté actuelle du joueur n’est pas forcément la même chez les dirigeants olympiens qui souhaiteraient mettre un terme à son contrat « à vie » mis en place par Jacques-Henri Eyraud.
